Savoir-faire et faire savoir

Il est courant de dire que toute grande organisation est soumise au danger de petit à petit oublier sa raison d’être et ne plus fonctionner que pour elle-même, engoncée dans son administration. Les exemples sont hélas nombreux. Je ne pense pas que l’UDV soit tombée dans ce travers mais il est bon de le garder présent à l’esprit et bien sûr de garder au plus près le contact avec les personnes que nous accueillons : au quotidien dans toutes nos associations, elles sont notre raison d’être et le fruit de notre attention.
Notre enjeu est de les servir et de les aimer. Notre savoir-faire, le vôtre, chers amis lecteurs bénévoles et salariés, est reconnu, j’en fais le constat régulièrement, notamment auprès de nos financeurs publics et privés.

Pourtant aujourd’hui dans notre Iota du mois de mars, nous faisons le choix de vous présenter notre service de communication et donc le « faire savoir », pourquoi ?
Il me semble que la première raison se situe en interne : nous avons un grand besoin de nous connaître, nous tous répartis dans le Var et de nous rencontrer, fusse par le truchement de quelques lignes, pour mieux « faire famille ». Et puis, ce qui fonctionne bien ici doit pouvoir être dupliqué vite ailleurs et l’inverse va de soi. L’autre raison est bien sûr vis-à-vis du monde extérieur dont nous dépendrons de plus en plus pour assurer nos prestations, pas pour survivre nous-mêmes mais pour pouvoir apporter la vie à ceux qui comptent sur nous.
Alors faisons nous violence et pratiquons aussi le faire savoir !

Par Thierry O’Neill, Président de l’UDV


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